L’impact des idéologies sur la société moderne

(Préambule : Avant toute chose, je tiens à prévenir que, si vous n’êtes pas capable de lire plus de 10 lignes sans perdre votre attention, ne vous attardez pas sur ce texte. Le corolaire, c’est que, si vous ne le lisez pas jusqu’au bout, ne commentez pas, passez votre chemin, retournez sur une vidéo de chat ou autre. Dans le même esprit, je ne fonctionne pas selon un schéma de reconnaissance personnelle, inutile donc de me cirer les pompes, je m’en contrefous. Ce qui m’intéresse, c’est une discussion non fermée avec des gens aptes à recevoir des arguments et à en communiquer. Merci.)

En tous les cas, je ne lèverai pas le petit doigt pour sauver celui-là.

Quand j’étais ado, dans les années 80, je me disais que nous avions de la chance. Mon grand-père avait connu quatre guerres importantes : la 1re puis la 2e guerre mondiale, la guerre d’Indochine et la guerre d’Algérie.

Nous ? Rien.

Ou, disons plutôt, tout le reste.

Le monde changeait à vitesse grand V, nous avions la musique, une liberté d’esprit que nos anciens n’avaient pas connue et de meilleures perspectives.

Mais qu’est-ce que nous avons fichu de tout cela en 40 ans ?

La musique ? Mon Dieu ! Comment est-il possible d’écouter de la daube pareille ? Tout se ressemble, comme des bagnoles. Et, au milieu de tout ça, des gens qui ne savent pas aligner deux mots sans faire de faute s’extasient devant des gangsters de banlieue, déclamant leur haine pour la moindre pensée constructive.

La liberté d’esprit ? Ne m’en parlez pas depuis qu’un consensus de gens éveillés a remplacé le mot femme par « personne menstruée ».

Le plus terrible, c’est que, parmi ces gens, il y a une majorité de femmes qui voient comme une avancée sociale le fait de ne plus apparaitre comme sexuée ou genrée. Ces mêmes olibrius qui font des sermons sur la nature et sa préservation en oubliant que c’est cette même nature qui pourvoit une race et un genre.

Cette pauvre liberté d’esprit, encore, qui leur interdit de prononcer le mot « race » parce qu’il désigne immédiatement son émetteur comme un fasciste de la pire espèce.

Parce que dans les rangs de la gauche bienpensante, l’ennemi est l’extrême droite fasciste.

Mais, chers amis, je vais vous en apprendre une bien bonne.

Plus vous êtes de gauche, plus vous êtes proche de vous laisser pousser la fameuse petite moustache.

Mussolini était socialiste avant de créer son parti fasciste et Hitler a toujours été socialiste, et si vous ne me croyez pas, sachez juste que NA.ZI est l’abréviation de national-socialiste en Allemand.

Le LFI, cousin germain des petits nazis, cela ne manque pas de saveur.

Marine Le Pen n’est même pas de droite, elle ne représente qu’un courant de la gauche actuelle, tout comme Hitler et Staline ne se différenciaient que par leur conception de l’idée nationale.

En gros, les grands penseurs de gauche essaient de nous convaincre que tout ce qui est nationaliste relève de la droite réactionnaire, tandis que tout ce qui est universaliste fait partie du progressisme de gauche.

C’est totalement faux.

Voilà qui remet tout de même les pendules à l’heure.

Mais alors qu’est-ce que la droite ?

Pour tout dire, en France et dans le monde, aujourd’hui, elle n’existe pas.

Il faudrait déjà la définir proprement, mais, vu qu’elle n’a jamais dirigé le monde, c’est une opération un peu compliquée.

Je peux quand même tenter d’imaginer une sorte de reflet en creux de ce qu’est la gauche aujourd’hui.

La gauche est idéologique.

Elle demande un état omniprésent.

Elle est antisémite.

Elle est violente, car la peur influence beaucoup l’adoption d’une idéologie.

Elle détruit les identités et/ou elle n’accepte que l’identitaire. (Staline/Hitler)

Elle est la plus grande pourvoyeuse de massacres dans l’histoire de l’humanité. (Staline, Hitler, Mao, Pol Pot, Ho Chi Min, Fidel Castro… etc. N’oubliez pas d’ajouter aussi tous les états musulmans actuels).

Elle est prosélyte.

Les masques sont enfin tombés : les idéologies progressistes qui prônent une tolérance sans limites se terminent toujours par une catastrophe humaine abominable, quand elles parviennent au pouvoir. Toutes !

Un des meilleurs exemples documentés que nous ayons d’une idéologie gauchiste est le christianisme. L’amour, la tolérance, l’égalité, tout cela s’est échoué sur les rivages de l’inquisition, des croisades et des chasses aux sorcières.

Quant à l’islam, vous le voyez de vos propres yeux, agir, en direct.

Alors du coup, la droite ?

Il faudrait qu’elle soit l’opposé de la gauche ou, disons, son contraire.

Elle doit être guidée par la non-soumission à des idéologies

L’état ne devrait y être que l’union de ses seuls citoyens

Elle comprend la nécessité de l’exception telle qu’Israël

Elle défend les droits et non les idées

Elle soutient l’identité jusqu’au point où cela ne nuit pas aux autres peuples

En tant que tendance rationnelle et morale, l’idée de massacre idéologique lui est étrangère

Elle fait appel à la raison justifiée

Pourquoi ce monde échoue-t-il ?

Parce qu’il favorise l’idéologie par rapport aux droits de 1789 et, qu’à partir du moment où l’humain s’en imprègne, il s’engorge aussi d’absolu.

C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles il est impossible pour un Français convaincu de cohabiter avec l’islam. En effet, on ne peut pas débattre avec l’absolu religieux si on souscrit aux droits de l’homme de 1789.

Mais revenons à cette droite théorique.

Ce que je suis en train de vous décrire est une avancée civilisationnelle extraordinaire.

Lorsque j’ai écrit mes lIVRES d’étude sur la Torah, j’ai dû survoler de nombreux peuples et civilisations à des tas d’époques différentes.

En m’intéressant au Déluge, je suis tombé sur la civilisation de l’Indus que je ne connaissais pas auparavant.

Elle est très ancienne. Son territoire était énorme, mais surtout, elle ne porte aucun témoignage archéologique de pouvoir centralisé. Malgré la distance considérable, allant du nord au sud, sur plusieurs milliers de kilomètres, les artisans ont utilisé une brique standardisée pour édifier leurs structures, démontrant ainsi leur habileté à atteindre un consensus.

Plus fort encore, on n’y trouve aucune trace de destruction par la guerre au contraire des autres civilisations de la même époque.

Les archéologues susurrèrent du bout des lèvres que cette société fonctionnait sans hiérarchie.

Bien plus tard, une autre période m’a intéressé. La guerre d’Espagne.

J’en suis venu à la conclusion que l’une des causes principales de la Seconde Guerre mondiale est ce qui s’est produit en Espagne durant cette période.

Pensez donc, des gens qui se prennent en charge en refusant l’autorité de quelques-uns.

Un courant libertaire que l’histoire a vite catalogué comme anarchiste avec le cortège de foutoirs que ce mot engendre dans les esprits.

Qui a permis de détruire ce courant ?

En premier lieu, les communistes. Une fois que les libertaires furent massacrés, les communistes se sont battus avec leurs cousins pas si éloignés que ça, les nazis d’Hitler et leurs amis franquistes.

Mais le fait est qu’on pouvait s’attendre à une alliance des libertaires avec les communistes.

Non, surtout pas.

Un vrai libertaire ne couche pas avec un esclave idéologique. Et le communiste le tuera pour cela.

Le libertaire n’est pas de gauche, loin de là.

En remontant encore de quelques dizaines d’années, on s’aperçoit qu’une autre tendance a été détruite par une guerre mondiale, le courant anarchiste. Plus absolu que le libertarisme, refusant toute idée d’une source créatrice, il prône quand même la responsabilité personnelle et la non-soumission à une élite.

Éradiqué !!

Mesdames et messieurs, devant vos yeux ébahis, viennent de se présenter deux formes de ce qui devrait être la droite, la vraie droite.

Et ça, c’est un monde qu’on aurait envie de sauver, sauf qu’il n’existe pas encore et n’existera peut-être jamais.

Est-ce compatible avec les études que j’ai faites de la Torah ?

Totalement !

Cela en est même la base. C’est cette droite-là qui est désignée par « la droite de l’éternel ».

C’est d’ailleurs ce qui me fait dire, après toutes ces années d’études, que celui que nous appelons Dieu, déteste au plus haut point les religieux.

Pourquoi ?

Parce que la religion est une idéologie humaine comme une autre.

Elle mène inexorablement à l’esclavage mental, comme toutes les autres idéologies. Elle amène l’Homme à remettre les clés de son libre arbitre à d’autres, qui sont présumés détenir la vérité.

Elle est l’antithèse de toute pensée créatrice et libre.

Seule une religion renonçant à son pouvoir peut entamer son parcours vers la crédibilité.

À présent, substituez le terme « religion » par celui d’« idéologie » et vous verrez la même dynamique à l’œuvre.

Ceci me conduit à penser la chose suivante :

Toutes les idéologies sont des religions sans dieu.

Et vice versa.

L’énorme danger d’une idéologie, c’est qu’elle ne possède aucune limite morale alors qu’une religion est censée détenir un semblant de morale dès sa naissance.

Mais nous voilà à présent devant un repère simple qui peut permettre de déterminer la différence fondamentale qui existe entre la gauche et la droite, entre une religion et une spiritualité.

C’est la prise en charge qui détermine cette différence.

Laissez-vous prendre en charge, vous serez un esclave en puissance dont les pensées ne vous appartiendront même pas.

Refusez cette prise en charge, vous êtes un être humain responsable de vos pensées, de vos actes et donc, de votre vie.

Tout l’enjeu est un mot difficile à définir : la liberté.

Or, il suffit de quelques minutes d’actualités pour comprendre que 80% des êtres humains passent leur temps à s’enchainer à d’autres moins nombreux, mais plus audacieux.

Et ce qui le permet, cela fait frémir, c’est la fainéantise.

Dans un monde où le consommateur achète des produits dont l’emballage est obligatoirement à « ouverture facile », la partie était gagnée d’avance.

Et j’en reviens à ce que je disais au début. Même si j’avais ce pouvoir, je ne sauverai pas ce monde-là.

Pour quelle raison ?

C’est celui qui échoue aujourd’hui et qui nous conduit à la catastrophe.

Un monde de fainéants incultes endoctrinés.

Qui veut sauver cela ?

Faire comme en Chine où vos moindres faits et gestes sont autopsiés pour vous donner une note de bons ou de mauvais citoyens ?

Prise en charge.

Comme en France, où la justice trouve des excuses aux pires ordures parce qu’ils ont eu une enfance malheureuse ? Les aides sociales ? L’état omniprésent ?

Prise en charge

En vérité, la pensée politique de gauche domine l’entièreté de cette planète. Les états sont devenus tentaculaires et régissent vos moindres faits et gestes. On ne demande pas votre adhésion, la télévision, internet, les médias en général se chargent du reste pour insidieusement vous répéter ce que vous devez penser ou pas.

Et cela fonctionne…Pour une extrême minorité…

Mais la vitrine flamboyante a de plus en plus de mal à cacher le fond du magasin où tout est sale et poussiéreux, les employés y sont misérables, alors que le propriétaire respire l’opulence.

En réalité, tout ce que je viens de décrire, c’est-à-dire les grandes idéologies, les grands combattants de la liberté, les grandes religions, le petit wokisme, tout cela ne se bagarre en réalité que pour le pouvoir et le pognon.

Et notre monde confond systématiquement pouvoir et argent, car, comme on dit, c’est le nerf de la guerre.

Prenez les grands philanthropes du combat social ou écologique…

Ils sont tous multimillionnaires plutôt que millionnaires.

Mélenchon (2 millions de dollars, merci, chers électeurs, merci, État français), Greta Thunberg (18 millions, merci, adolescents du monde), Nelson Mandela (4,1 millions, longue vie au prix Nobel, à moi-même), Lech Walesa (170 millions, que le syndicalisme soit béni !), Fidel Castro (900 millions, Viva la revolucion !), Yasser Arafat (entre 800 et 1,4 milliard, l’antisémit… Oups, l’antisionisme paye très bien) etc., etc., etc., pour ne citer que le parangon du parasitisme militant, tous multi millionnaires avec une mention spéciale pour Yasser Arafat, milliardaire, l’escroc égyptien de Palestine, l’Elon Musk de la cause « palestinienne ».

Et oui, ça, c’est dur pour un esclave idéologique, d’entendre que son idole préfère collecter les billets plutôt que les actes éthiques.

Ces gens sont très forts pour exploiter médiatiquement le misérabilisme.

Mettez-les au pouvoir et ils deviennent incompétents et/ou tyranniques.

En réalité, ce mode de fonctionnement n’est rien de moins que le principe fondamental de la mafia.

OLP, Hamas, Greenpeace, Greta Thunberg Foundation (elle s’est mise à l’antisémitisme récemment, ça paye mieux, merci Yasser ) et Cosa Nostra, même combat.

Mais alors ? Quelle solution ?

Peut-être une chose qu’on a très peu essayée dans l’histoire.

Un monde sans religion, mais avec une spiritualité forte.

Un monde sans idéologie, mais reposant sur une idée forte.

Un monde où on redonne à l’argent sa seule fonction d’outil non spéculatif.

Un monde où l’humilité est une valeur forte.

Un monde où chaque être humain est détenteur des mêmes règles de bon sens.

Un monde où chaque être humain s’autocontrôle.

Un monde où la terre n’est pas un bien consommable et spéculatif.

Utopie ?

Oui et non.

Oui, parce que tous ceux qui ont sincèrement essayé se sont pris une balle (coup de couteau, accident d’avion, de cheval, de moto… rayer les mentions inutiles).

Non, parce que seule la volonté manque pour réaliser cela.

Cela oblige à l’humilité, à l’éducation et à la réflexion permanente.

Vous qui avez démissionné devant vos enfants en les qualifiant de petits anges et en faisant d’eux une extension de vos propres égos, vous êtes entièrement responsables de la gabegie de nos systèmes. En les rendant « sans limite », ils sont devenus sans morale et donc totalement esclaves de ce système.

N’est-ce pas contradictoire d’être sans limite et esclave à la fois ?

Non, car la meilleure façon de définir la liberté c’est de dire qu’elle s’arrête là où commence celle des autres et donc de comprendre les limites à nos propres actions et de les fixer, non en pensant à soi-même, mais en tenant compte des autres.

S’imposer des limites éthiques est donc un acte d’homme ou de femme libre.

Quant à ceux qui ont totalement baissé les bras devant leurs progénitures en abandonnant leurs fonctions parentales à un gang de cités, vous avez créé des monstres quasi irrécupérables.

Mais c’est là qu’il faudra être subtil, car le peu qui sera encore récupérable possèdera une énorme force morale.

La Torah le claironne en permanence. Arrêtez de voir le bien ou le mal. Il faut aussi comprendre que, sans mal, le bien n’existe pas.

Ce n’est pas un hasard si le nazisme est né en Allemagne, un pays qui représentait depuis le 19e siècle un creuset de connaissances et d’avancées scientifiques.

Le mal absolu se loge toujours dans ce qui semble être le plus élevé, comme une sorte de géant aux pieds d’argile.

Le bien et le mal sont indissociables. Il faut vivre avec, mais la conscience universelle nous dicte aussi qu’il faut se rapprocher au plus près d’un état d’équilibre. C’est exactement ce qu’enseigne la Torah et c’est aussi une des raisons pour laquelle je défendrai toujours Israël, car cette Nation, malgré l’extrême dangerosité de sa situation, entourée par 500 millions de voisins hostiles, a conservé un fonctionnement démocratique et une morale millénaire.

Pendant que vous discutaillez sur les pauvres petits palestiniens et les pauvres iraniens, les Israéliens, eux, jouent leur survie au sens propre.

S’ils montrent la moindre faiblesse, ils disparaissent, ni plus ni moins.

Tout ceci est aussi valable pour vous, Français.

C’est votre survie qui est en jeu aujourd’hui.

Les attentats du 13 novembre n’ont pas activé un témoin d’alerte dans vos têtes ?

Allez faire un tour en banlieue pour voir à qui vous avez affaire.

La pitié n’y existe pas.

La clémence non plus.

Vous êtes une proie ou, au mieux, un consommateur de drogue, ce qui, finalement, revient au même.

Vos gouvernants vous ont amené à cela. Aviez-vous voté pour qu’on en arrive là ?

Était-ce un point connu de leur programme ?

Si j’insiste autant avec Israël et son combat actuel, c’est qu’il résume le même combat que devra livrer l’occident prochainement.

L’islam ne reconnait rien d’autre que le musulman. Vous n’êtes rien en tant qu’infidèle. Le musulman peut vous mentir sans encourir de sanction spirituelle, c’est presque un devoir.

Et qu’on ne vienne pas me dire le contraire, j’ai un coran à la maison…

Une semaine après les attentats du Bataclan, Bono, le chanteur du groupe U2 en concert à Paris, a osé dire que l’islam était une religion de paix.

Il n’a jamais lu le coran, ni l’histoire de l’islam et le récit des guerres sanguinaires qui ont accompagné son développement.

Pour résumer, c’est un peu comme avec « Mein Kampf », je ne comprendrai jamais que la France et l’Angleterre aient été surprises par la volonté d’Hitler de déclencher une guerre alors que tout était déjà écrit dedans. La guerre était inévitable. Il aurait fallu la préparer sérieusement plutôt que de palabrer dans le vide afin d’obtenir des signatures bidon pour des traités de paix bidon.

Dans la même veine, prenez un coran, lisez-le, tout y est aussi.

Oui, vous avez bien compris.

Je n’aime pas la gauche et tous ses dérivés. Plus précisément, je n’aime pas celle que nous avons définie aujourd’hui et qui passe son temps à mentir comme une arracheuse de dents.

Plus généralement, je n’aime pas l’idée que ma pensée et mes opinions soient prises en charge par des élites autoproclamées progressistes.

Alors, vous imaginez bien que je n’accepterai jamais qu’un livre islamique me dicte combien de cailloux utiliser pour me torcher les fesses dans le désert (authentique !) et m’oblige ainsi à me poser la question de savoir ce que ce dieu-là peut bien avoir à foutre de ses journées à part trouver les règles les plus débiles imaginables.

Sauvez cela ? Beurk, j’en vomirais tellement l’idée me retourne l’estomac.

En vérité, la seule alternative que nous ayons aujourd’hui en Occident, c’est de faire machine arrière toute.

Nous devons cette immigration massive à nos grands industriels qui ont besoin de toujours plus de main-d’œuvre non qualifiée afin d’économiser sur les salaires.

Dans la foulée, les politiques obéissent à leurs mécènes mais aussi à leurs idéologies suicidaires.

Ils ont créé toutes sortes d’aides pour attirer encore et encore.

Il faut supprimer toutes les aides et n’en réserver qu’une seule aux citoyens authentiques de ce pays.

Il faut supprimer définitivement le droit du sol quand le terme de citoyen sera correctement défini.

Ne plus accepter la moindre immigration économique.

C’est du racisme ?

Non, car il est crucial de protéger vigoureusement ceux qui ont élu domicile en France et qui ont toujours été fidèles à cette nation et à sa langue, quelle que soit leur origine ou leur apparence. Toutefois, il est important de noter que la religion doit être prise en compte, comme je l’ai mentionné auparavant.

Aux autres, à ceux qui passent leur temps à cracher sur la France dans un dialecte improbable, la prison ne leur servira jamais à rien.

Il suffit qu’ils perdent leur nationalité trop généreusement octroyée, et ce, définitivement.

Tout l’intérêt d’exister en tant que Nation, c’est de partager une même vision du monde. Certes, on peut débattre sur certains sujets, mais le fond doit rester commun.

Et le fond, c’est quoi ?

Rien de plus simple.

C’est la base commune indiscutable pour laquelle chaque personne ressentirait du mal si elle en était victime.

Que ressentiriez vous si vous étiez volé ?

Blessé gratuitement ?

Si on vous mentait ?

Si on ne respectait pas une promesse ?

Si on convoitait votre épouse/mari ?

Si on tentait de vous assassiner ?

Si vous étiez trompé par votre épouse/mari ?

Etc., etc.

L’immense majorité d’entre vous ressentirait une souffrance.

C’est rassurant.

Cela signifie que quelque chose fonctionne encore normalement.

Ceux qui veulent détruire ces repères vous diront que ce ne sont que des codes sociaux qu’on vous a inculqués et que, finalement, vous êtes endoctrinés, mais laissez moi vous poser une question :

À quoi ressemblerait le monde si cette simple morale n’existait pas ?

Avez-vous déjà vu ce qu’un lion fait à une gazelle ?

Vous avez déjà observé comment fonctionne une meute ?

Une mante religieuse qui dévore sa victime vivante ?

Bref, vous savez ce que sont les règles de la nature sans le regard effarouché et théâtral de Greta Thunberg ?

 

L’être humain n’a pas vraiment de classification dans la nature parce qu’il est hors nature. Lui seul, ici-bas, a le pouvoir de catapulter la planète dans les limbes de l’oubli.

Tout ceci pour vous dire qu’une première partie du travail est fait pour la plupart d’entre nous et que nous devons cela à la Torah.

D’ailleurs, on a beaucoup reproché aux Juifs du Talmud de considérer tous les non juifs comme des animaux.

C’est faux.

Par contre, dire qu’il y a une catégorie d’hominidés qui se comporte comme tel, oui, c’est exactement ce dont parle le Talmud.

Vous le dîtes vous-mêmes quand vous voyez une horde de houligans se jeter sur de simples passants ou sur des supporteurs pacifiques, alors pourquoi le reprocher aux Juifs ?

Mais pendant que vous les chargiez de tous les maux, eux, dans les synagogues, priaient pour le pays qui les accueillait.

Vous ne me croyez pas ?

Dieu Éternel, maitre du monde, Ta providence embrasse les Cieux et la terre ; la force et la puissance t’appartiennent ; par Toi seul, tout s’élève et tout s’affermit.

De ta demeure sainte, Ô Seigneur, bénis et protège : LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE PEUPLE FRANÇAIS.

Que la France vive heureuse et prospère ; qu’elle soit forte et grande par l’union et la concorde.

AMEN

Que les rayons de Ta lumière éclairent ceux qui président aux destinées de l’Etat et qui font régner dans notre pays l’ordre et la justice.

AMEN

Que la France jouisse d’une paix durable et conserve son rang glorieux au milieu des nations.

AMEN

Que la France reste fidèle à sa noble Tradition et défende toujours le droit et la liberté.

AMEN

Accueille favorablement nos vœux ; que les paroles de nos lèvres et les sentiments de notre cœur trouvent grâce devant Toi, ô Seigneur, notre Créateur et notre Libérateur.

AMEN.

Quand avez-vous entendu cela dans une mosquée en France ?

Je pose une vraie question.

Pourtant, la France n’a pas été tendre avec ses Juifs, mais, heureusement, elle a su être une première comme la Torah les aime et j’espère qu’elle sera à nouveau dans cette position prochainement, même si les évènements récents, les volontés politiques et les statistiques inclinent à penser le contraire.

Qui vivra, verra.

Mais en attendant, j’affirme que soutenir Israël est un devoir pour celui qui veut soutenir l’exception et une vraie minorité.

Quoi ? L’homosexualité ? Une minorité ?

Les chiffres oscillent entre 5 et 10 % d’une population…

Mais admettons 5.

En 2023, la France comptait 33 millions d’adultes entre 20 et 59 ans. Cela suffira pour la démonstration.

Il y aurait, dans ce pays, 1 650 000 homosexuels entre 20 et 59 ans.

Dans le même temps, 448 000 Juifs français de 0 à 99 ans vivent en France.

Vous commencez à comprendre ?

Cela devient encore plus gênant quand on les compare aux 4 100 000 de musulmans occupant ce pays.

Alors, les vraies minorités, on en parle ?

OK.

Les Juifs dans le monde, c’est 13 millions de personnes, Israël compris.

La communauté homosexuelle doit tourner autour de 200 millions dans une fourchette basse.

Cela reviendrait à créer le 8e pays le plus peuplé du monde.

L’islam regroupe 1,6 milliard de musulmans. C’est plus que la Chine.

Les chrétiens sont représentés par 2,6 milliards d’individus. Soit presque la Chine et l’Inde réunies.

Je vais m’arrêter là et vous reposer la question.

Qui est une vraie minorité ?

Qui a t-on le devoir de sauver réellement ?

Qui ?

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